« Cette décision marque une étape importante dans la croissance de la bioéconomie forestière canadienne et encouragera l’utilisation de bois de qualité inférieure sur le marché face à l’aggravation des feux de forêt », a déclaré le président et chef de la direction de l’APFC, Derek Nighbor. « C’est une bonne nouvelle pour les travailleurs forestiers et les collectivités, car cela améliorera la compétitivité internationale de notre secteur face à des mesures incitatives similaires aux États-Unis et en Europe. Nous en avions absolument besoin pour être en mesure d’attirer les investissements mondiaux dans les mois et les années à venir.
« La biomasse forestière est une source puissante d’énergie renouvelable et neutre en carbone qui transforme les résidus de bois tels que la sciure, les branches et l’écorce en énergie et en combustibles à faible teneur en carbone.
« Nous sommes prêts à collaborer avec le gouvernement fédéral sur la mise en œuvre afin de renforcer la position du Canada en tant que destination pour les investissements dans le secteur forestier et les énergies renouvelables », a ajouté M. Nighbor.