«C’est un sujet très délicat [l’industrie forestière], comme gouvernement on est sensible au fait qu’on doit protéger l’industrie, je viens moi-même du milieu forestier. Avant de lancer des choses [le plan caribou], on doit être préparé. C’est 55 000 personnes qui travaillent dans l’industrie forestière au Québec, on ne peut pas mettre en péril ce secteur-là, il faut voir en amont ce qu’on peut faire», explique le ministre qui s’est exprimé en marge du RDV Transition verte, en réponse aux enjeux liés à la future parution du Plan caribou, qui se fait attendre.
Il indique être néanmoins conscient des impacts à venir pour l’industrie. Malgré plusieurs mentions de disparité au sein du caucus sur le sujet, le ministre a voulu se montrer rassurant en spécifiant que le climat et les discussions sont sains chez les caquistes.