
Pour rester optimiste dans le dossier du bois d’oeuvre, il faut avoir un don particulier pour l’imagination. Car il est bien difficile de voir comment l’élection de Donald Trump pourrait aider l’industrie forestière canadienne.
Le président désigné a passé sa campagne à conspuer l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA). Il promet maintenant de le renégocier. Ou de s’en retirer. Ou peut-être de revenir à l’ancien accord bilatéral avec le Canada. Enfin, ce n’est pas bien clair… Ses intentions semblent demeurer une énigme pour lui-même.
Ce que l’on sait pour l’instant, c’est que peu importe les positions du président Trump, notre industrie du bois d’oeuvre s’apprête à rejouer dans la même mauvaise pièce.
Advertisement
Imprimer cette page
Advertisement
Stories continue below
À propos