Pression, « sentiment de travail bâclé », « commandes de Québec [qui] arrivent de manière décousue », « instructions de travail non cohérentes » : parmi les 600 ingénieurs forestiers qui se sont exprimés sur leur organisation (cohérence, moyens pris pour atteindre ses objectifs, outils mis à leur disposition pour réaliser leurs tâches), ceux qui travaillent pour l’État québécois ont donné les notes les plus faibles.
Ces données et ces commentaires ont été recueillis dans le cadre d’une vaste enquête visant à cerner les perceptions des ingénieurs forestiers et les enjeux auxquels ils font face. Cette consultation, initiative de l’Ordre en collaboration avec des partenaires du secteur, dont le Conseil de l’industrie forestière et l’Association des entrepreneurs en travaux sylvicoles du Québec, a été confiée à des chercheurs indépendants.
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