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Étoiles 2016 : L’ingénieure venue de la ville

12 avril, 2017  par Guillaume Roy



Nom : Virginie Galvez-Cloutier
Âge : 28  ans
Poste : Ingénieure forestier – Cédrico
Formation : Génie forestier à l’Université Laval

Ayant grandi en ville, Virginie Galvez-Cloutier n’avait jamais pensé faire carrière en foresterie jusqu’à ce qu’une orientrice lui parle du métier. «J’ai tout de suite vu l’intérêt pour travailler dans la nature et pour la protection de l’environnement», dit-elle d’emblée.

Dès lors, elle prend la décision d’aller étudier en aménagement et environnement forestier à l’université Laval, ou elle devient officiellement ingénieure forestier en mai 2015. Grâce à des stages formateurs qu’elle a suivi à l’université, elle était bien préparée pour la réalité de l’emploi et en moins d’un mois, elle déniche l’emploi quelle convoitait pour Bois d’œuvre Cédrico, une entreprise basée en Gaspésie et au Bas-Saint-Laurent.

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«J’adore la variété du travail à faire, que ce soit dans les bureaux, en forêt, en équipe ou en solo. On est appelé à aller vers nos intérêts», souligne Virginie.

À son arrivée chez Cedrico, Virginie s’est vu confier la mise à jour de la documentation de nos directives, instructions et formulaires, ainsi que la formation de l’ensemble de nos employés et de nos entrepreneurs et leurs employés. Un exercice un peu intimidant pour finissante, mais un défi qu’elle a relevé avec brio, note Jean-François Desbiens, le directeur de la foresterie pour Cedrico.

Depuis un an, Viriginie apprend rapidement. En plus de travailler sur la certification FSC du système de gestion environnemental et du territoire de Cedrico, elle s’implique dans différents comités en lien avec la foresterie, tels que les tables de gestion intégrée des ressources pour le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, ainsi que le comité technique mise en place par la corporation de la gestion de la certification du Bas-Saint-Laurent. 

Passionnée de la forêt et de la préservation de la ressource, Virginie est persuadée que l’avenir est favorable pour le matériau bois. «Plus on regarde les qualités écologiques du bois et plus on se rend compte que c’est la meilleure option sur le marché. Sans compter que les pratiques de récolte se sont améliorées énormément», conclut-elle. 


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