«On ne voit plus de jeunes couples qui veulent se faire construire une première maison, lance d’emblée le président de l’entreprise Gigari, Sébastien Maltais. Un petit bungalow comme on voyait beaucoup avant, c’est maintenant impossible de construire ça pour 250 000$. Alors, nos clients sont des gens qui en sont à leur deuxième ou troisième maison et qui ont profité des leviers financiers.»
Rapanoela Rija a habité à Québec ainsi qu’en Abitibi avant de se trouver un emploi au Saguenay. Avec sa conjointe, ils souhaitaient initialement se trouver une maison usagée, mais il c’est rapidement aperçu qu’il y avait peu de maisons comme il cherchait sur le marché. « C’est très difficile et c’est cher. Celles qui se vendent 265 000$ datent de 1950 et il y a beaucoup de rénovations à faire. On s’est donc tourné vers une construction neuve. »