Les paysages du Nunavik sont grandioses. Mais si vous y cherchez des chênes blancs, des ratons laveurs ou de grands hérons, vous risquez d’être déçu.
Voilà pourquoi il faut se préoccuper de ce qui se passe avec nos aires protégées au Québec.
À la toute fin de l’année dernière, la province a réussi de justesse à protéger 17 % de son territoire, pile sur ce qu’on appelle les « objectifs d’Aichi » des Nations unies.
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